L'actu
Face à la hausse des prix et des profits... Les salaires en chute libre !
- Le 25/08/2023
- Dans FLASH ACTUCGT
Pan sur le bec de Macron-Darmanin-FNSEA « Les Soulèvements de la Terre » : le Conseil d’État suspend la dissolution en référé
- Le 14/08/2023
- Dans FLASH ACTUCGT
La réforme du congé parental : Mieux le rémunérer OUI ! Le réduire NON !
- Le 05/08/2023
- Dans FLASH ACTUCGT
Dunière-sur-Eyrieux - La construction de l'Ehpad Les Mûriers divise
- Le 05/08/2023
- Dans FLASH ACTUCGT
Après trois années de travail et 600 000 € d'argent public investi, Gérard Brosse craint que le volumineux dossier de l'Ehpad Les mûriers tombe à l'eau.
Sur fond de querelle de clocher, le projet de construction d'un Ehpad sur Dunière semble aujourd'hui remis en cause. Le maire de la commune n'hésite plus à parler de pressions politiques.
En janvier 2020, le projet de construction de l'Ehpad (Établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) Les mûriers était promis à la commune de Dunière-sur-Eyrieux. Mais aujourd'hui, il est entaché d'incertitudes. En effet, une étude conduite en juin 2023 quant à la construction d'un Ehpad sur la commune voisine de Saint-Fortunat, pousse Gérard Brosse, le maire de Dunière, à se demander si l'établissement tant attendu verra finalement le jour sur son territoire.
Pressions politiques
L'idée de construire l'Ehpad Les mûriers sur Dunière remonte à l'été 2019, face au refus administratif de reconstruire l'établissement à Saint-Sauveur-de-Montagut. Devant ce refus, la fondation des Diaconesses de Reuilly, gestionnaire de l'établissement, envisageait donc de quitter la vallée pour s'installer à Privas. Souhaitant éviter que l'Ehpad quitte la vallée de l'Eyrieux, le Département a soutenu une étude de faisabilité sur trois sites, dont celui de Dunière-sur-Eyrieux. Et en janvier 2020, le choix s'est porté sur ce dernier. La construction était urgente, car l'établissement de Saint-Sauveur-de-Montagut fonctionne sans autorisation d'accueil du public depuis plusieurs années. Ainsi, l'Ehpad Les mûriers de Dunière était prévu pour 2026. Mais, en juillet 2021, suite au changement de majorité du Département, les contacts entre les Diaconesses et la mairie de Dunière se sont rompus, aucune nouvelle n'ayant plus été donnée concernant l'avancée du projet. Or, en juin dernier, Gérard Brosse apprit qu'un projet d'Ehpad était en cours d'étude sur Saint-Fortunat. Et le maire de Dunière de pointer du doigt Christian Féroussier, vice-président du Département et maire de Saint-Fortunat, le suspectant d'avoir exercé "des pressions politiques pour détourner le projet initial sur Saint-Fortunat."
Où en sommes-nous ?
Le choix final revient à La fondation des Diaconesses de Reuilly, qui, confrontée à un déficit annuel de 400 000 €, se trouve dans le besoin urgent de construire un nouvel établissement. Lors d'une rencontre en juillet 2022 entre Gérard Brosse et Philippe Pucheu, le directeur de la fondation, ce dernier s'était engagé à donner une réponse dans le courant du premier semestre 2023. Mais la fondation ne s'est toujours pas manifestée, malgré les courriers des avocats diligentés par le maire de Dunière. Cependant, Dunière ne peut attendre davantage. Car d'ici à 2026, la commune devra restituer les 600 000 € obtenus auprès d'Epora (établissement public foncier de l'ouest Rhône-Alpes) pour la construction de l'Ehpad. "Il s'agit bien là d'un préjudice financier et moral avéré, assure Gérard Brosse, ce projet a empêché d'autres investissements. Nous n'en resterons pas là. Nous engagerons des poursuites judiciaires, qui s'avéreront longues et coûteuses."
Hervé Saulignac réagit
Lors d'une visite sur le territoire, le député Hervé Saulignac a réagi aux allégations de Gérard Brosse. Il a affirmé ne pas pouvoir croire que Christian Féroussier ait pu ainsi détourner le projet, "une telle pratique serait sidérante." Le député appelle à la sagesse, et insiste sur la nécessité de confirmer le choix de Dunière-sur-Eyrieux, sous peine de voir l'Ehpad quitter définitivement la vallée de l'Eyrieux.
Contactés par téléphone, le maire de Saint-Fortunat, Christian Féroussier, et la fondation les Diaconesses de Reuilly n'ont pas souhaité réagir.
Stop aux records délétères dans la santé et l’action sociale !!!
- Le 19/07/2023
- Dans FLASH ACTUCGT
Santé au travail : Equilibre vie personnelle/vie professionnelle
- Le 19/07/2023
- Dans FLASH ACTUCGT
Note des négociateur·rice·s CPPNI BASSMS du 11 juillet 2023 + déclaration intersyndicale CGT FO SUD CMP 11/07/2023
- Le 19/07/2023
- Dans L'ACTU 51
D’été en été, la situation se dégrade !
- Le 19/07/2023
- Dans FLASH ACTUCGT
Les congés payés, d'où ça vient ?
- Le 19/07/2023
- Dans FLASH ACTUCGT
En cette période estivale, la CGT revient sur l'histoire de la lutte pour obtenir les congés payés.
Le début des congés payés
En 1936 après un mouvement de grève massif, les travailleurs et travailleuses accompagné·es par la CGT ont gagné deux semaines de congés payés.
Pour la première fois, des ouvriers et des ouvrières ont pu partir en vacances. « Être en congés en étant payé, c’était le miracle » raconte un métallo savoyard.
La CGT s’investit alors pleinement dans l’accompagnement des salarié·es au delà du travail.
Elle contribue à l’essor du tourisme populaire avec la multiplication des colonies pour enfants, et la création d’un bureau de tourisme.
En 1945 et 1946, c’est la création des Comités d’Entreprise. La gestion des activités sociales passe entre les mains du mouvement ouvrier, qui en fera un puissant outil au service de l’émancipation.
En 1956, la troisième semaine est votée. En 1969 la quatrième, une des revendications de Mai 68. En 1982 on gagne la cinquième semaine.
La réduction du temps de travail est dans le sens de l’histoire. Mais elle n’en reste pas moins une affaire de rapport de force avec le patronat.
Encore aujourd’hui, une large partie des travailleurs et travailleuses ne peuvent pas partir en vacances. Alors continuons à nous battre pour de meilleurs salaires et pour un droit au temps libre !
Le « chantier infirmier » : le ministère joue avec le feu !
- Le 14/07/2023
- Dans FLASH ACTUCGT
Il n’y a pas que la chaleur qui est insoutenable
- Le 14/07/2023
- Dans FLASH ACTUCGT
La France est le pays de l’Union européenne qui compte le plus d’accidents et de décès au travail
- Le 29/06/2023
- Dans FLASH ACTUCGT
Publication de la Loi de financement sécurité sociale 2023 : Les principales modifications sur le départ à la retraite
- Le 29/06/2023
- Dans FLASH ACTUCGT
Une centaine de personnes réunies devant le centre hospitalier d'Aubenas
- Le 22/06/2023
- Dans La CGT 07 en ACTION et en LUTTE !
À l'appel de l'unité syndicale départementale de la santé et de l'action sociale CGT 07, une centaine de personnes se sont réunies dès 15 heures ce mardi 20 juin devant le centre hospitalier d'Ardèche méridionale (Charme).
Ils revendiquent la réouverture des urgences 24h/24 et 7 jours sur 7 et une revalorisation des conditions de travail et du système de santé.
Source Le Dauphiné Libéré : https://www.ledauphine.com/sante/2023/06/20/une-centaine-de-personnes-reunies-devant-le-centre-hospitalier-d-aubenas?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2JOiF5X01WCr7wVteVXIulyaz5wrdwwDG21amoWq_EDhFJnw9kizg7yLM#Echobox=1687272679
Compte-rendu CGT de la Commission Paritaire Permanente de Négociation et d'Interprétation BASS du 13 juin 2023
- Le 22/06/2023
- Dans L'ACTU 51
BASSms : Les 183 euros pour tous fixeront l’avenir du secteur !
- Le 19/06/2023
- Dans L'ACTU 51
HCPP du 13 juin 2023 : Les professions paramédicales ont besoin de moyens et ne sont pas aux ordres !
- Le 19/06/2023
- Dans FLASH ACTUCGT
Manifs Ardèche mardi 6 juin 2023
- Le 28/05/2023
- Dans FLASH ACTUCGT
Le ministère du Travail forme les employeurs contre l’action de ses agents et à déjouer ses contrôles. Ce scandale doit cesser immédiatement !
- Le 27/05/2023
- Dans FLASH ACTUCGT
La CGT, Sud et la FSU révèlent que des cadres de l’administration animent des formations payantes dispensées par un organisme privé.
Le but de ses formations : indiquer aux employeurs les façons de parer aux actions de l’inspection du travail...
La réaction des syndicalistes qui ont découvert l'affaire.
C’est ce qu’on appelle jouer contre son camp, voire contre ses propres collègues ou subordonnés. Les syndicats CGT, Sud et FSU du ministère du Travail ont révélé ce jeudi que des cadres de l’administration participaient à des formations payantes (845 euros l’inscription) dispensées par un organisme privé… à destination des employeurs.
Des formations ayant notamment pour objectif, selon la description du stage, de « se défendre en cas de contentieux ou de procès-verbal dressé par l’inspection du travail ».
« Le Ministère du Travail forme les employeurs contre l’action de ses agent·es et les réclamations des salarié·es. (…) », dénoncent les organisations syndicales dans leur communiqué commun. Celles-ci demandent : « Ce scandale doit cesser immédiatement ! »
L’administration, de mèche avec les employeurs ?
« Nous sommes tombés sur cette annonce de formation par hasard, en lisant une publication de la société Lamy-Liaisons qui les organise », raconte Simon Picou, de la CGT SNTEFP. « En creusant, on s’est aperçu que cette formation qu’animait une responsable d’Unité de contrôle pour le compte de la DRIEETS Île-de-France, n’était pas la seule. D’autres de la sorte avaient été dispensées par d’autres agents. Ce qui nous effraie, c’est que le directeur régional, que nous avons interpellé, nous réponde qu’il ne voyait pas de problème. Le seul souci, selon lui, est l’intitulé de la formation, qu’il a demandé à la société organisatrice de modifier. »
Les attendus de cette formation ne vont effectivement pas par quatre chemins : « Contrôler les temps de travail et de repos des collaborateurs, pour éviter les sanctions et prouver le nombre d’heures effectuées… voilà un véritable casse-tête ! (…) Dès lors quels dispositifs mettre en place ? Quelles précautions prendre ? Comment se défendre en cas de contentieux ou de procès-verbal dressé par l’inspection du travail ».
« Imagine-t-on des policiers expliquer les recours ou les astuces pour faire sauter des contraventions à des chauffards ? » Simon Picou, de la CGT SNTEFP
« Que des avocats dispensent à leurs clients employeurs une telle formation pour éviter les contrôles de l’inspection du travail, c’est logique, reprend Simon Picou. Mais là, il s’agit d’un agent du ministère du travail. L’image renvoyée est celle d’une administration qui se range au côté des employeurs. Il y a un vrai problème d’impartialité. Imagine-t-on des policiers expliquer les recours ou les astuces pour faire sauter des contraventions à des chauffards ? Ou des agents de l’administration fiscale expliquer à des employeurs comment éviter les contrôles ? »
Sollicité, le ministère du Travail n’a pas donné suite à nos questions.
Tract intersyndical : Le-ministere-forme-les-employeurs-contre-ses-agent.es-.pdf